Patrimoine

 Parmi les bâtiments militaires érigés sous domination française se trouve une ancienne caserne dite « des Fours ». Elle a été érigée à la fin du 18e siècle comme le précise une inscription située sous la corniche « Ci-dessous a été placée la 1re pierre le 5 mai 1785 ». La caserne a été construite en style classique, en moellons de calcaire. Sous le régime belge, elle était le lieu de casernement du 7e de Ligne. À gauche se trouve l’ancien portail, partiellement en ruines et aujourd’hui muré. Le reste des bâtiments militaires, non classés, ont été rasé par l'administration des domaines en 2006. Les anciennes cours intérieures et d’exercices font l’objet d’une protection comme site. Classement comme monument et comme site le 10 juin 1982. voici l'entrée de la caserne des fours à Philippeville, les batiments principaux situés à l'arrière (Bolc Massart) (Photo 3) (wing ops, centre de transmission, atelier radio-sol, atelier automaticien, intelligence, et les cellules d'alertes) ont été rasés en 2006. Cette caserne qui dépendait du 2ème wing Tac de Florennes et a été remise à la commune de Philippeville, le (date ?).

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En 987, Otton III donne à l’abbaye de Brogne l’église et les dîmes de la paroisse. Paroisse depuis cette époque, Mettet dépend du concile ou doyenné de Florennes, au diocès de Liège mais en 1561, elle est attribuée au diocèse de Namur.

Édifice primitif de petite taille acheté comme bien national par Valentin Bodart. Dès 1802, la Municipalité de Mettet souhaite l'acheter avec le presbytère, pour la somme de 8.905 francs. Suite au refus du préfet Pérès, le propriétaire cède gratuitement le bien à la commune en 1804. Quelques années plus tard, la population réclame un sanctuaire plus grand… les travaux commencent en 1841-1842. Les entrepreneurs désignés sont Flostroy et Aubron, de Florennes. S'ouvrant sur la place J. Meunier, imposant édifice néo-classique en briques et calcaire, élevé.

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Située rue de la Montagne. Fausse porte (façades, toitures et passage), maison du Frère Récollet (façades, toitures et charpente principale à l'exclusion de la serre et de l'annexe du xxe siècle cachant la fausse porte vers le jardin, pavillon bas (façades et toitures), pavillon haut (façades et toitures), murs jouxtant la fausse porte et bordant l'ancien cimetière des Récollectines.

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Située Place d'arme. Partie conservée de l'ancienne maison du gouverneur, amputée de trois travées à droite, et de deux à gauche en 1877. Construction de deux niveaux, dont certains éléments témoignent d'une origine du XVIIè siècle,: le soubassement biseauté en appareil de calcaire, la façade en briques oranges mêlées à des briques de cendrée et queques ancres en S, subsistent cinq travées de baies remaniées ou refaites avec des pierres de remploi au XIXè s.,à linteau droit sur piédroits harpés. A l'arrière, façade reconstruite en deux temps, sans doute vers le milieu du XVIIIè s., ouverte par quatre travées de baies à linteau droit sur  piédroits harpés. Batièred'éternite à coyau et croupe.

Accolé à l'ancienne maison du gouverneur, a gauche, à l'angle de la rue de l'église, portail d'allure classique de la fin du XVIIIè ou du début du XIXè s., en calcaire appareillé, replacé à cet endroit sans doute lors des travaux de la fin du XIXè s. Passage entre deux pans concaves ponctués par des médaillon, pilastres panneautés avec médaillon, dont deux sont encore sommés de vases de style Empire.

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De construction en pierre calcaire du pays ce monument est situé sur le mur nord de l'église, rue Octave Targez.  Il s'agit d'une stèle de pierre bleue élevée en mémoire: - des deux combattants de Romedenne tombés au champ d'honneur en 14-18 -des quatre civils fusillés -des 19 combattants morts après la guerre de 14-18. Une plaque a été ajoutée pour rappeler les 2 combattants morts pendant la guerre de 40-45. Au bas du monument l'inscription 1914-1918. En 2014, le Comité 14-18 de Surice-Romedenne organisa une grande exposition dans l'église pour commémorer le centenaire des événements tragiques qui  passés dans les deux villages de Romedenne et Surice lors des 24 et 25 août 1914. Récits d'événements historiques, témoignages des anciens, tableaux commémoratifs, anciennes photos, lettres et cartes postales, médailles, armes et vêtements militaires, objets de la vie quotidienne de l'époque, etc etc.Tout cet ensemble fut largement visité par de nombreux visiteurs émus par ce retour au passé douloureux de nos deux villages. En juin 2018, toujours dans ce désir de ne pas oublier ces tragiques journées d'août 14, le Comité créa deux chemins de mémoire dans les deux villages. En douze panneaux à Romedenne et treize à Surice, le visiteur peut refaire le terrible chemin parcouru à l'époque par nos martyrs. En suivant ces différentes étapes nous pouvons aujourd'hui faire découvrir les principaux événements qui ont jalonné ces douloureux périples. 

Projet de Sauvegarde et Protection par l'asbl GEPHIL-ESM

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Edifice néo-classique d'un niveau sur élevé, bâti vers 1878. Précédée d'un ample perron à double volée, façade en moyen appareil de calcaire rythmée par des pilastres colossaux et cintrée par un frontispice sommé d'un attique et d'un fronton triangulaire. Bâtière de roofing coiffée d'un lanternon en bois zingué, refait en 1981. Possède une cloche et une horloge toujours en fonctionnement.

Coordonnées GPS : Cliquez pointeur carte

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